Feux du ciel

C’est le titre d’un livre de Pierre Clostermann, qui raconte avec talent, dans un style sobre et efficace, des histoires vraies d’aviateurs durant la 2ème guerre mondiale. Ces récits ont en commun le courage jusqu’à l’héroïsme, de ceux qui les ont vécus sous toutes les latitudes et dans des circonstances souvent exceptionnelles. Les connaisseurs auront, évidemment, reconnu la silhouette du Spitfire-VII, aux ailes allongées pour la haute altitude. Un des plus beaux avions de cette époque.

Glamour 2

Cette beauté sophistiquée et enchanteresse, m’a été inspirée par l’exposition « 100 ans de Vogue Paris« , actuellement visible au Palais Galliera/Musée de la mode à Paris. Cela vaut beaucoup de chefs-d’œuvre officiels qui prennent la poussière dans les musées. Au niveau du public, la parité n’y était pas, c’était à 90% féminin et personne n’a protesté, moi non plus, au contraire.

Sous les sables vermeils

Cette image d’archive de l’exploration de Mars – dont nos lecteurs voudront bien excuser la mauvaise qualité – résume parfaitement l’échec de la tentative de conquête de la planète rouge. En effet, pour répondre aux nombreux opposants qui, sur Terre, voulaient que l’on s’occupe de l’état catastrophique de notre planète, plutôt que gaspiller le peu d’énergie qui nous restait dans ce projet chimérique, les entrepreneurs pro-martiens ont décidé de le rentabiliser à tout prix. Cela n’a pas été une découverte, ni une exploration mais une exploitation qui s’est achevée dans le fiasco que l’on sait. Et ces abrutis n’ont même pas été capables de rencontrer les Martiens, qui pourtant sont toujours là.

La dernière frontière

Le mur d’Hadrien. Entre 122 et 127 après J-C, l’empereur Hadrien fit édifier ce mur sur toute la largeur nord de l’Angleterre, correspondant à peu près à l’actuelle frontière Angleterre-Écosse. S’étendant sur 80 milles romains soit 118 km, cet ouvrage défensif était flanqué de 300 tours, dont 80 fortins et 17 camps retranchés. Ce mur a marqué la limite nord de l’Empire romain, jusqu’à la construction plus au nord, vers l’actuelle Écosse du mur d’Antonin, en 142 après J-C. Ce qui atteste de la progression de l’armée romaine, mais il sera abandonné en 160 après J-C, sous la pression des Pictes et le mur d’Hadrien redeviendra la frontière nord de l’Empire.

Servus bis

Le même, version matière plastique recyclée. Saluons ce geste « écologiquement responsable ». Car – comme nous le répètent, à l’envi, les donneurs de leçons des médias, qui eux ne s’éclairent pas à la bougie – il faut sauver la planète.

Servus

Cet esclave vu dans un « péplum » anglo-américain, était le seul personnage crédible de cette assez médiocre évocation de l’époque romaine. Dommage, car le contexte historique était intéressant, dans l’antique Britannia, défendue au nord par le mur d’Hadrien qui, comme chacun le sait, a été construit à partir de 122 après J-C, pour lutter contre les Barbares.

Sur le rivage

Porté par la brise marine, le grand volateur glissait lentement au-dessus des dunes, ses aile frôlant les épis de la végétation halophyte. Cette photo, pas très nette, a été prise avec un puissant télé-objectif Zeiss Iéna, fabriqué en RDA. La qualité optique était moyenne, mais pour la robustesse et surtout le poids, il n’y avait rien à redire, car ils avaient dû recycler les tubes des lance-roquettes « panzerfaust » de la Wehrmacht pendant la deuxième guerre mondiale.