Imperator Caesar Vespasianus Augustus fut le 10ème empereur romain, de 69 jusqu’à sa mort en 79. Arrivé au titre suprême à l’âge respectable (à l’époque) de 60 ans, il fut le moins pire empereur de cette période. Il mit fin à la guerre civile de 68 – 69. Avare et cupide, il se livrait au pillage et à la rapine, mais faisait un excellent emploi de ce qu’il avait mal acquis. Il procéda à des réformes fiscales, des réformes législatives, la refonte de l’armée, la stabilisation des frontières et la reconstruction de Rome, nécessaire après le grand incendie sous Néron. Il fonda la dynastie des Flaviens qui régnèrent sur L’Empire romain de 69 à 96. Ses fils, Titus puis Domitien, lui succédèrent après sa mort.

Là on voit l’épouse d’un des Caesar Imperator, en train de comploter pour éliminer son gênant mari. Nous sommes à Rome en l’an 68 de notre ère, une année exceptionnelle de violence et de guerre civile, durant laquelle – comme tous ceux qui lisent autre chose que des SMS, le savent évidemment – quatre empereurs se sont succédés après le suicide de Néron. Galba assassiné, Othon suicidé, Vitellus lapidé et Vespasien victorieux. Vespasien n’étant pas que l’inventeur de la vespasienne, cet urinoir installé sur la voie publique, nous en reparlerons après.

Pour se raccourcir, il avait pris à travers champs. Mais les nappes de brouillard qui s’élevaient du sol humide, lui avaient fait perdre tout repère.

Par une inquiétante aliénation mentale collective, une partie de la planète a quasi-canonisé une gamine désagréable et donneuse de leçons, qui, sous prétexte de lutter contre le « réchauffement climatique » invective les dirigeants des pays industrialisés, en particulier et les adultes, en général. L’icône dépressive de la dictature verte ne délivre qu’une pensée infantile apocalyptique et catastrophique pour la jeunesse dont une partie applaudit néanmoins à tours de bras et en redemande. Quant aux adultes convertis par son discours simpliste et sans aucune proposition concrète, ils confirment que le monde est totalement dérangé. La Suède, dans son histoire, semble avoir produit plusieurs spécimens féminins d’agitées du bocal, dont Ste-Brigitte, Greta Garbo et aujourd’hui, Mlle Thunberg. Ce doit être une spécialité locale.

Sur la longue voie martienne traversant le plateau de Tharsis, l’aéromobile Panhard-Levassor se traînait péniblement. Le générateur atomique du véhicule était vieillissant et la réserve d’uranium était au plus bas. La station-service la plus proche se trouvait à moins de 1500 km.

Petit footing dans la campagne proche, en fin d’après-midi. La lumière était rousse et la fille aussi.

Ferme solitaire dans le parc des volcans du Massif Central. Sans crayonné préalable, directement à la plume sur du papier ordinaire et sans se focaliser, ni sur les proportions, ni sur les règles de perspective. L’ensemble est assez ressemblant. Un grand souvenir de randonnée.

Mille-feuille de nuages, au soleil couchant.

Là, le père Monet a vraiment abusé d’absinthe, ce qui, à l’évidence, a stimulé sa créativité. Au XIXème siècle, beaucoup d’artistes et écrivains (Manet, Daumier, Toulouse-Lautrec, Degas, Baudelaire, Zola, pour n’en citer que quelques-uns) ont consommé de l’absinthe et/ou en ont fait le sujet de leurs œuvres. Cette liqueur alcoolique à base d’une plante toxique a été interdite en France de 1915 à 1988 et depuis, le dictionnaire Larousse est très laconique à ce sujet. Heureusement, j’ai hérité d’un dictionnaire encyclopédique datant des années 1890/1900, et qui donne la recette détaillée pour distiller de l’absinthe. Alors, avis aux amateurs de ce breuvage à la réputation funeste.

Nuages dans un ciel acide. Encore une brillante variation du maître Monet qui, ce jour-là, avait dû forcer sur l’absinthe.