La visiteuse du soir

« Elle est arrivée silencieusement à la nuit tombée, en coupant à travers la forêt. À son air, on a compris qu’elle avait quelque chose d’important et de difficile à dire. Son visage plutôt quelconque, que l’on n’avait jamais vu souriant, était encore plus fermé. Était-ce cette gêne qui la rendait désirable ? »

Extrait confidentiel et exclusif de la suite de « À la recherche du temps perdu » de Marcel Proust, composée grâce à l’Intelligence Artificielle.

Inspiration florale

Image hâtivement griffonnée directement au carré pastel sans crayonné préalable. Une tentative pour s’abstraire du trait qui, en ce moment, semble figer les images. On est plus sur le fil du rasoir, mais il ne faut pas craindre d’échouer. Affaire sans suite.

L’inconnue

Le gros type avait disparu et avait été remplacé par une fille qui ne disait rien, mais le regardait avec bienveillance. Il faisait très chaud et pourtant elle était habillée comme en hiver. Dans la grande pièce vide, il y avait une forte odeur d’hôpital. Il comprit qu’on l’avait enfermé dans un asile de fous dont il devait à tout prix s’échapper.

Étrange rencontre

Il ne savait pas comment il était arrivé là et se trouvait dans une grande pièce vide faiblement éclairée. Au fond une porte s’est ouverte et un gros type s’est avancé qui s’est mis à parler. Mais il n’entendait que le borborygme d’une vieille baignoire qui se vidangeait. Cela allait être difficile de se renseigner.