Mouvement perpétuel

« Objet n° XVIII » ou « La persistance temporelle », fait partie de la période dite « rustique » de Zoltan Pleksygladz, quand il peignait directement sur de la toile de jute non préparée. Une façon pour le maître borduro-syldave de rappeler la dure réalité de l’existence.

Ça repose

« Paysage n° IV » ou « Après la pluie » est un tableau majeur du célèbre peintre borduro-syldave, Zoltan Pleksygladz, chef de file de l’École de la « Figuration pathétique » qui s’est développée de la Baltique jusqu’à la Mer Noire, après la chute des dictature prolétariennes. Cette œuvre considérable, fait actuellement l’objet d’une grande rétrospective au Centre Georges-Pompidou à Paris.

Une tradition picturale

Depuis le 19ème siècle, la représentation du harem, réel ou fantasmé, a été pratiquée par de nombreux maîtres de la peinture occidentale, parmi lesquels on peut citer, entre autres, Ingres, Gérome, Renoir et Matisse qui est allé plus loin quand, à partir de 1918, il décida de rester à Nice (jusqu’à sa mort en 1954). Il entretint un véritable harem de dames de compagnie et de modèles, jeunes et jolies, au point que Picasso, qui pourtant n’était pas un parangon de vertu, trouvait « exagéré qu’il continue à courir les femmes à son âge ». Picasso vivait alors avec Françoise Gilot, qui avait 40 ans de moins que lui. Ah ces artistes ! Une dernière déclaration définitive de Matisse, qui résume sa vie niçoise, « Je travaille aussi à l’École des Arts Décoratifs, je dessine la nuit et je b… le modèle ». Doit-on préciser que Mme Matisse – qui d’après ses photos et portraits peints – n’était pas excitante, l’a définitivement quitté en 1937 ?

Géométrie descriptive

M… est un modèle très connu des artistes amateurs de notre petit ville. La première fois qu’on s’essaie à la dessiner, on est assez surpris et on ne sait pas trop comment s’y prendre. Mais ensuite, on se rend compte qu’elle pose très bien et est un excellent modèle qui nous aide à travailler l’étude de l’anatomie.