L’autre face d’un modèle de Maillol. Toujours dans son atelier de Banyuls-sur-Mer. On peut constater, objectivement, que l’envers vaut au moins l’endroit, si ce n’est plus.
Statue en terre cuite vernissée.
L’autre face d’un modèle de Maillol. Toujours dans son atelier de Banyuls-sur-Mer. On peut constater, objectivement, que l’envers vaut au moins l’endroit, si ce n’est plus.
Statue en terre cuite vernissée.
Modèle d’Aristide Maillol, retrouvé dans son atelier de Banyuls-sur-Mer.
Statue en papier mâché peint.
Sculpture virtuelle d’ Alberto Giacometti. Toujours son éloge esthétique de la maigreur.
Zurich, collection particulière.
Point à la ligne.
« Perspective n° XII » ou « La vallée des roses » est également une œuvre importante du maître borduro-syldave, Zoltan Plekzygladz, que l’on peut également admirer, en ce moment, au Centre Georges-Pompidou.
Depuis le 19ème siècle, la représentation du harem, réel ou fantasmé, a été pratiquée par de nombreux maîtres de la peinture occidentale, parmi lesquels on peut citer, entre autres, Ingres, Gérome, Renoir et Matisse qui est allé plus loin quand, à partir de 1918, il décida de rester à Nice (jusqu’à sa mort en 1954). Il entretint un véritable harem de dames de compagnie et de modèles, jeunes et jolies, au point que Picasso, qui pourtant n’était pas un parangon de vertu, trouvait « exagéré qu’il continue à courir les femmes à son âge ». Picasso vivait alors avec Françoise Gilot, qui avait 40 ans de moins que lui. Ah ces artistes ! Une dernière déclaration définitive de Matisse, qui résume sa vie niçoise, « Je travaille aussi à l’École des Arts Décoratifs, je dessine la nuit et je b… le modèle ». Doit-on préciser que Mme Matisse – qui d’après ses photos et portraits peints – n’était pas excitante, l’a définitivement quitté en 1937 ?
M… est un modèle très connu des artistes amateurs de notre petit ville. La première fois qu’on s’essaie à la dessiner, on est assez surpris et on ne sait pas trop comment s’y prendre. Mais ensuite, on se rend compte qu’elle pose très bien et est un excellent modèle qui nous aide à travailler l’étude de l’anatomie.
Découverte aux Studios de la Victorine à Nice, Henriette Darricarrère fut, de 1920 à 1927, le plus important modèle de Matisse qui « aimait par-dessus tout, le fait que son corps accrochait la lumière comme une sculpture ».