… de bronzage. Ce n’est paraît-il, ni bon pour la santé, ni bon pour la planète, mais toujours agréable à regarder.

Avec une économie de moyens, on obtient un résultat plus libre et plus intéressant que l’image précédente

Nature morte, à la manière de Cézanne, en technique mixte (pastels à l’huile et pastels tendres). Les couleurs des fruits sont plutôt réussies, mais l’ensemble n’est pas exaltant et franchement « chromo ».

En suivant le cours paisible de la Loire, quelque part entre Orléans et Saumur.

Nous étions arrivés un dimanche en fin d’après-midi, il n’y avait pas âme qui vive dans les rues ni aux fenêtres. Après avoir tourné en vain à la recherche d’un hôtel, nous avons rapidement quitté cette angoissante cité dont la tortueuse rue principale, tel un monstrueux serpent, semblait prête à nous étrangler. Redescendus dans la plaine, nous avons trouvé un hôtel riant et propret. Par charité et pour ne pas peiner l’office de tourisme local, nous tairons le nom de cette localité, digne d’un conte d’Edgar Poe.

Après l’Âge de pierre, l’Âge du bronze, l’Âge du fer… l’Âge du cochon. Quand les chasseurs se sont transformés en éleveurs. Cette remarquable peinture rupestre, au graphisme particulièrement efficace, a été récemment découverte dans la « Vallée des Merveilles » du parc du Mercantour.

Image ni très personnelle, ni très originale, conçue comme un exercice pour travailler les volumes par les nuances de teintes. Le pastel sec s’y prête assez bien, même si l’effet est un peu trop poussiéreux.

À sa place, mais pas trop concerné. Sous son air molosse, c’est plutôt un doux rêveur.

Bientôt l’été. Les résidents et le personnel de l’Ehpad du CHU, ont fait savoir qu’ils avaient apprécié l’image, pour le menu du repas estival. Cela fait toujours plaisir.

Beauté non classique, mais mémorable. Croquée rapidement, tôt le matin, avant le petit déjeuner bien mérité.