
Dans la réserve de l’Étang du Méjean. Nature sauvage encore préservée, à seulement 45 minutes en vélo de l’appartement.

Dans la réserve de l’Étang du Méjean. Nature sauvage encore préservée, à seulement 45 minutes en vélo de l’appartement.

Par courtoisie, nous ne communiquerons ni les mensurations, ni le n° de téléphone de ce magnifique modèle.

Malgré un certain déconfinement, l’accès à la piscine olympique est très encadré, pour ne pas dire restreint. Reste le souvenir vivace des naïades du temps passé.

Parfois, quelque grand oiseau, albatros ou frégate, passait à portée de fusil et Gédéon Spilett se demandait si ce n’était pas à l’un de ces puissants volateurs qu’il avait confié sa dernière chronique adressée au New-York Herald.
Jules Verne

Pas si clair que ça, ce chêne majestueux trônant dans la garrigue. Dessin ou photo ? On est en plein pictorialisme.

Dans la nuit, le vieux chêne veille. Des esprits chagrins et pinailleurs pourraient estimer que la photo est floue. Nous répondrons, d’une part qu’avec une aussi faible luminosité, le temps de pose a été long et le système de mise au point a pu se dérégler, d’autre part que le flou artistique a été pratiqué avec talent par l’école pictorialiste, qui entre la fin du XIXème et le début du XXème siècle, a défendu la légitimité artistique de la photographie. Enfin qu’il vaut mieux une bonne photo floue qu’une mauvaise nette. Et toc !

Lydia Delectorskaya, assistante, secrétaire, modèle et dernière muse (cela fait plus élégant et artistique que maîtresse) d’Henri Matisse qu’elle rencontrât en 1934. L’importance qu’elle prit dans la vie de Matisse, provoqua la séparation de son couple et en 1937, Mme Matisse quitta définitivement le peintre. Lydia resta avec Matisse jusqu’à sa mort en 1954. L’ultime dessin de Matisse fut le portrait de Lydia.

Grand chêne au soleil couchant. Le plus fastidieux a été de dessiner les 4563721 feuilles. Il est possible qu’il en manque quelques unes, n’hésitez pas à nous le signaler, on essaiera de les retrouver.

Rencontre amicale avec un groupe de chênes kermès, vagabondant dans la garrigue languedocienne.

Au départ de la randonnée, fugace brume matinale, qui donne au paysage, assez banal, un aspect mystérieux. Après ça va vite chauffer et on va avoir, durant toute la journée, des visions hallucinatoires de boissons rafraîchissantes et de desserts glacés.