
En référence au toujours fascinant film de Jean Cocteau (datant de 1946) et non aux médiocres succédanés que des tâcherons, sans imagination ni talent, nous ont depuis hélas infligés. Heureusement, ils ont été punis par leur fiasco.

En référence au toujours fascinant film de Jean Cocteau (datant de 1946) et non aux médiocres succédanés que des tâcherons, sans imagination ni talent, nous ont depuis hélas infligés. Heureusement, ils ont été punis par leur fiasco.

Le maître du Château, s’appelle Gaston. Il pèse plus de 80 kg et quand il fonce vers sa pitance, mieux vaut ne pas être sur sa trajectoire.

C’est une puissante forteresse avec des gardiens à tous les niveaux.

Ou de la Belle-au-bois-dormant. Notre reporter était là.

Je ne suis passé qu’une fois et en coup de vent à Orléans, pour le travail. Le temps d’aller, depuis la gare SNCF, récupérer un véhicule dans le centre ville où j’ai croisé cette beauté placide. On ne sait si elle est toujours pucelle, mais elle fait honneur à sa ville.

Ce vénérable, aux yeux qui parpalègent, pourrait être un religieux ou un simplet (ce qui de nos jours est presque pareil). Avec son crane tondu, il fait penser à un moine bouddhiste mais il vient, lui aussi, du Ghana.

Cette jeune beauté aux yeux bridés et au visage protégé par un masque blanc, ne vient pas – comme l’a si bien écrit le grand poète, José-Maria de Hérédia – de la contrée lointaine de Cipango, mais du Ghana. Nous nous sommes connus au musée du Quai Branly à Paris. J’ai fait la photo et elle a souri.

Ah, ces touristes ! À se demander d’où ils viennent. Certains sont vraiment à faire peur.

Elle n’est pas cavalière, mais comme on peut le constater, elle a de l’allure. Pour les amateurs, elle tapine discrètement dans un recoin du musée des Années 30 à Boulogne-Billancourt.

Station hippomobile à Paris. Si on a de la chance, on peut espérer y rencontrer d’élégantes amazones, mais pour les accompagner, mieux vaut être en fonds et bon cavalier.