Quand je me regarde dans une glace, à la ferme d’Anaïs, je vois cet apprenti gaucho. À la différence que nous sommes séparés par quelques milliers de kilomètres et quelques dizaines d’années. Par ailleurs, il peut ambitionner de devenir un jour, chef d’écurie d’une vaste hacienda de Patagonie, alors que je resterai toujours palefrenier, mais sans regret, dans une ferme du Tarn-et-Garonne.