Ça ne déplait pas

Printemps à Tokyo. Le masque de beauté de cette contemporaine geisha, me rappelle celui que mettent les femmes de Madagascar pour se protéger du soleil. Peut-être cette coutume a-t-elle une origine similaire ? Encore qu’au Japon, il y a une motivation différente, celle de « l’Éloge de l’ombre », comme l’a si bien décrit l’écrivain Junichirô Tanizaki, dans son essai éponyme.

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