
Et quelle étude ! Une fois encore, le maître Claude Monet, nous stupéfie par son approche de la lumière et de la couleur.

Et quelle étude ! Une fois encore, le maître Claude Monet, nous stupéfie par son approche de la lumière et de la couleur.

Il s’agit d’une « étude de nuages » de Claude Monet (1840-1926), provenant d’une série qui vient d’être fortuitement découverte dans le grenier de la maison de Giverny, où le grand maître de l’impressionnisme a passé les dernières années de sa vie. Nous avons pu obtenir l’exclusivité de publication de ce remarquable polyptyque, avant l’exposition « Les séries de Claude Monet », qui aura lieu au printemps prochain et qui regroupera, outre les plus connues, comme les vagues, les reflets d’eau, la cathédrale de Rouen et les nymphéas (évidemment et osons le dire, hélas), d’autres, jusque là ignorées du grand public, mais beaucoup plus originales.

Il ne faut pas se fier aux apparences, ce salmigondis de couleurs est une « étude de ciel », proprement exécutée au pastel par Edgar Degas (1834 -1917). Heureusement que c’est signé (en bas à gauche), sinon cela aurait sûrement fini à la poubelle. Ce n’est pas l’œuvre la plus convaincante du grand maître, et encore… notre photographe l’a bien améliorée.

Les caméras de surveillance du Musée d’Orsay, ont enregistré l’image d’un célèbre visiteur qui, à l’évidence, était venu, en catimini, admirer l’œuvre la plus célèbre de ce respectable musée. Placé dans un couloir exigu, le tableau de Gustave Courbet (1819-1877), ne peut être regardé qu’à la va-vite, sous peine de passer pour un érotomane compulsif et s’attirer les foudres des bien-pensants de l’ultra féminisme militant. On se demande même, comment les adeptes de la confusion des genres, ne l’ont pas encore fait décrocher et même brûler. Après tout, on a récemment brûlé en autodafé au Canada, des albums de « Tintin » et de « Lucky Luke ». Alors, il n’y a rien d’impossible !

1936, le cinéaste Jean Renoir tourne « Partie de campagne », adapté d’une nouvelle de Maupassant. Le film qui n’est sorti qu’en 1946, après les chefs-d’œuvre que sont « La Grande illusion » (1937), « la Bête humaine » (1938) et « La Règle du jeu » (1939), est apparu comme une gentille pochade en hommage à son père, l’illustre peintre Pierre Renoir. Pour la petite histoire, l’assistant, à droite, est Henri Cartier-Bresson qui deviendra un célèbre photographe, à mon avis, très surestimé.

Pour finir la petite histoire, avant de passer à tout autre chose.

Phase d’étirement pour rééquilibrer les terminaisons nerveuses.

Phase de concentration avant l’étirement.

Phase d’extension. Une, une-deux, une-deux-trois.

Cette série d’exercices a, suivant les directives du « professeur » (tirées d’un livre publié aux USA), été faite sur un papier calque qui laisse transparaître la lumière.