
Elle avait le regard si lointain que l’on se demandait si elle ne voyait pas au -delà du spectre visible.

Elle avait le regard si lointain que l’on se demandait si elle ne voyait pas au -delà du spectre visible.

Image inspirée de « Demain les chiens », le célèbre roman de Clifford D. Simak. Ce récit de S-F publié au début des années 1950 (titre original « The City »), raconte dans un futur pas si éloigné, le dépeuplement et l’abandon de la Terre par les humains, remplacés par les chiens, eux-mêmes remplacés par des robots. Vu la manière dont le monde évolue, on se dit que cela pourrait bien arriver. La différence notable entre le roman et notre réalité, c’est que dans le livre, il n’y a pas de violence. À la fin, il ne reste plus que quelques robots désœuvrés qui entretiennent de grandes maisons vides et dans la campagne, des musaraignes, dont l’auteur suggère qu’elles seront les héritières de la vie intelligente.

En utilisant de manière empirique une technique que nous trouvions assez originale, mais qui, en réalité d’après nos lectures, avait déjà été pratiquée par Edgar Degas, avec la maîtrise et le talent exceptionnels que l’on sait. Toutefois rien n’interdit de persévérer pour tenter d’y faire bonne figure. D’autant plus que le grand maître du pastel, semble ne pas y avoir fait d’émules connus dans ce « modus operandi ».

Deuxième et dernière partie du périple à vélo, le long de la Loire, depuis Sully-sur-Loire jusqu’à l’estuaire et même au-delà, puisque nous sommes allés jusqu’à Pornic. Lors du passage à Nantes, nous avons visité le bien trop modeste musée Jules Verne, ce qui a eu au moins le mérite de stimuler notre imagination. En effet dans l’estuaire entre St-Nazaire et St Brévin-les-pins, nous avons cru apercevoir un étrange submersible. S’agissait-il du Nautilus du Capitaine Némo ?

Ce portrait a dû m’être inspiré par un acteur américain, dans un film peu mémorable et que j’ai depuis oublié. Il est temps de se préparer au prochain périple en vélo.

Un dessin de paresseux, mais le tracé à la plume était très agréable.

Ce portrait en forme de « patate douce » est venu tout seul. Peut-être parce que, en ce moment, il y en a souvent sur les marchés et qu’on les apprécie, surtout celles en provenance d’Égypte. Un voyage gustatif.

Exercice libre à la plume, sans « a priori » se voulant artistique.

Quelques gribouillages pour garder la main.

La couleur de l’encre a influencé la teinte du papier. Conversations à bâtons ininterrompus à bord de l’avion. Les lecteurs éclectiques et futés vont peut-être trouver de quel « best-seller » américain, d’il y a plusieurs décennies et ayant évidemment fait l’objet d’une (même deux) adaptation(s) au cinéma, est extraite la page que le dessinateur a osé découper ? Pour vous rassurer, disons que ce n’est pas un chef-d’œuvre de la littérature et qu’il y a même eu une version raccourcie dans la collection des livres condensés du « Reader’s Digest.