
La cargaison de pommes de terre avait disparu dans l’incendie ou s’était éparpillée dans le désert. Il ne restait qu’une survivante, aussi mignonne qu’improbable. Mais la faim commençait à le tenailler. Allait-il résister à l’envie de la manger ?

La cargaison de pommes de terre avait disparu dans l’incendie ou s’était éparpillée dans le désert. Il ne restait qu’une survivante, aussi mignonne qu’improbable. Mais la faim commençait à le tenailler. Allait-il résister à l’envie de la manger ?

C’est au-dessus du grand désert marocain, que le moteur de l’avion a commencé à sérieusement cafouiller, à cause d’une fuite d’huile. Une inquiétante odeur de frites s’est répandue dans l’habitacle. La cargaison de pommes de terre était en train de partir en fumée.

Sur cette vue rapprochée, prise à basse altitude, on distingue parfaitement au centre, le cratère du volcan Arsia Mons qui culmine à 27 000 m d’altitude et qui était encore en activité, il y a seulement 200 millions d’années. Et sur la droite, on aperçoit d’anciens canaux, vestiges de rivières asséchées.
( photo Agence Spatiale Européenne )

Ceux qui voient une mandarine pourrie, se trompent. Il s’agit de la planète Mars photographiée par un nano-satellite que vient de lancer l’Agence Spatiale Européenne. La photo résultant d’une image composite reconstituée par ordinateur et dont on doit souligner la remarquable qualité, montre parfaitement l’une des deux calottes polaires, encapuchonnée de glace.
(photo Agence Spatiale Européenne)

L’histoire a commencé dans la nuit froide du désert sud marocain, où l’aviateur-écrivain Antoine de Saint-Exupéry s’était écrasé, alors qu’il allait livrer un chargement de pommes de terre à la garnison de Cap Juby.

Elle m’a ému et je n’ai pas pu la manger. Comme l’a si bien écrit Antoine de Saint-Exupéry dans « Le Petit Prince », son œuvre éternelle, « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux de la pomme de terre ».

À la mi-temps des matches de polo, les spectateurs sont invités à remettre en état le terrain, en enfonçant, avec les pieds, les mottes de gazon retournées.

Ce dimanche matin, le ciel était gris et menaçant, un temps à « rester sous la couette ». Mais, évidemment et comme toujours, nous sommes allés marcher (au-dessus de Lodève), et nous avons eu la pluie, le vent et le froid. Bien fait pour nous.

Repousser l’hiver et la morosité. La tonalité chaude du très réputé papier « mi-teintes » de Canson&Montgolfier fait ici merveille.

Tandis que les bons citoyens essaient tant bien que mal de s’accommoder du strict couvre-feu que les autorités ont dû imposer au pays, le paquebot qui assure régulièrement la ligne Reykjavík-Tombouctou, traverse majestueusement le ciel, dans un joyeux brouhaha.