
Fin d’après-midi d’été dans le Lubéron. Mon père a l’air un peu sévère, car on avait dû interrompre sa légitime sieste, pour faire la photo. Ma mère, elle, était toujours d’accord.

Fin d’après-midi d’été dans le Lubéron. Mon père a l’air un peu sévère, car on avait dû interrompre sa légitime sieste, pour faire la photo. Ma mère, elle, était toujours d’accord.

Dans un récent discours de pure démagogie électorale, destiné à convaincre les citoyens qu’ils sont « au bout du tunnel », le premier ministre vient d’annoncer des prochaines levées de restrictions sanitaires. Alors que les hôpitaux sont, depuis deux ans, prêts de l’implosion et que l’on enregistre chaque jour plus de 400 000 contaminations (sic !) dues à la Covid, on va supprimer l’obligation du port du masque dans les lieux publics et, entre autres, rouvrir les boîtes de nuit. Car il est important de rassurer les français qui sont persuadés de vivre sous une dictature sanitaire (ces abrutis devraient regarder comment ça se passe dans d’autres pays d’Europe pourtant beaucoup plus civilisés) et surtout ne pas les mettre devant la réalité, qui est: « du sang, de la sueur et des larmes ». Oui, on est proche de la fin.

Toujours aussi appétissante. On vous l’a déjà servie, il y a peu, mais je n’ai pas résisté. Cette fois-ci, il n’y a pas eu de traitement de l’image par un logiciel, les couleurs ont été appliquées directement au pastel. C’est plus nuancé et plus doux.

Notre très sympathique spationaute français, Thomas Pesquet, le chouchou des médias, après son long séjour dans l’ISS (station spatiale internationale) qui a failli le transformer en légume, a décidé de repartir immédiatement en direction de la planète Mars. Faute de moyens, il s’est envolé en fusée-stop et serait actuellement du côté de l’astéroïde B 612, dans l’attente d’un hypothétique vaisseau spatial, ce qui n’est pas pour demain. D’une part B 612 n’est pas du tout sur le bon chemin et d’autre part c’est une zone peu fréquentée car infestée par les pirates. À défaut de jouer au Petit Prince voguant entre les étoiles, il risque donc de finir en Robinson durant de longues années.

Mme Taubira a débarqué dans la campagne présidentielle comme un étrange lapin sorti du chapeau. Car elle ne veut pas être « la candidate de plus ». À l’origine indépendantiste farouche, elle s’est rapidement tournée vers le parti socialiste, ce qui était beaucoup plus rémunérateur. Résultat, elle s’est retrouvée à la tête de divers instituts improductifs d’économie locale de la Guyane, avant de finir ministre de la Justice, dont on n’est pas près d’oublier le rôle plus que funeste. Ne vous laissez pas amadouer par sa très petite taille, elle est très dangereuse.

Mme Le Pen est intellectuellement peu brillante, bachelière de justesse par rattrapage, étudiante en droit très médiocre et très fêtarde. Elle a connu une très brève carrière d’avocate, sans client, sans dossier, sans revenu. Heureusement, il y a eu son père et le Front National, où elle a pu prospérer. Pour essayer, en vain, d’impressionner le simple citoyen, elle s’inspire de références intellectuelles hétéroclites et antinomiques, qu’elle ne comprend pas elle même. Son seul titre de gloire authentique, une formation pour élever des chats.

Mme Hidalgo est la seule de la bande des quatre qui a un peu travaillé et utilement, puisqu’elle a été – pas longtemps – inspectrice du travail, avant de faire carrière au parti socialiste. Sa gestion financière catastrophique de la ville de Paris, qu’elle masque par des artifices comptables, conduirait un simple citoyen derrière les barreaux. Elle change d’avis comme une girouette et ne cesse de se contredire. Elle a réclamé une primaire à gauche, qu’aujourd’hui elle conteste, par peur du résultat qui lui serait défavorable. Son insignifiance ferait presque pitié, si ses niaiseries ne coûtaient pas si cher aux contribuables.

Mme Pécresse est une grande bourgeoise technocrate qui n’a aucune idée personnelle. Elle se réclame de Chirac et de Sarkozy (quel héritage !) pour ânonner des platitudes et avancer des idées éculées. Elle n’a jamais vraiment travaillé, car siéger au Conseil d’État ou professer le droit constitutionnel, ça ne sert à rien, sauf à percevoir un très gros salaire. Toujours avec un train de retard, elle n’a ni personnalité, ni humour, et quand elle s’y essaie, c’est un désastre. Son Karcher n’est qu’un pistolet à eau qui n’effraie personne et ses petites phrases qu’elle voudrait assassines, tombent à plat, très au-dessous de la vivacité d’esprit du président sortant.

Mais que font les organisations féministes ? Les quatre candidates à la prochaine élection présidentielle, sont particulièrement gratinées ! Ces dames ont en commun leur inconsistance et leur médiocrité, à un tel niveau, qu’on se demande si on ne préfèrerait pas voter pour une table ou une chaise qui, au moins, servirait à quelque chose. C’est le » quarté » perdant.

Le télescope spatial géant, qui vient d’être envoyé vers les étoiles par une fusée Ariane V, depuis la base de Kourou, a permis de localiser et de photographier, avec une précision stupéfiante, le petit astéroïde, mentionné par l’écrivain-aviateur de Saint-Exupéry, dans son célèbre livre. Ceux qui ont bonne vue, devrait apercevoir le Petit Prince dialoguant avec une rose.