
La mer étale, aux couleurs cyan, et le ciel menaçant de fin d’après-midi, semblent indiquer que l’on se trouve dans la zone des Caraïbes.

La mer étale, aux couleurs cyan, et le ciel menaçant de fin d’après-midi, semblent indiquer que l’on se trouve dans la zone des Caraïbes.

Un petit paysage breton, bâclé en cinq minutes. Ce n’est pas si mal. Vraiment pas le temps, Catherine m’attend.

La belle était dans l’île à … Belle-Île. À marée basse, la gracile créature se reposait alanguie dans une crique proche de la Pointe des Poulains (pour ceux qui connaissent). Ce devait être une sirène, car à marée haute, elle était partie.

Bien porté et fort utile, avec le soleil implacable qui tapait en plein mois d’août sur la péninsule du Yucatán.

Quand on a la chance de rencontrer quelqu’un qui côtoie les dieux, on en profite. D’autant plus, qu’entretemps le bouton du haut de son chemisier avait sauté.

Habillée en Hermès, évidemment.

Cela a été le titre d’une émission de radio pour insomniaques, qui diffusait durant une partie de la nuit des morceaux de jazz, plus ou moins digestes et entrecoupés de commentaires oiseux, destinés à soutenir le moral des auditeurs esseulés. Les voisins qui, eux avaient envie de dormir, n’appréciaient pas.

Il n’y a pas si longtemps, les jeunes femmes savaient s’habiller, même dans la vie de tous les jours. En ce moment, c’est le triomphe du style SDF ou banlieue des quartiers difficiles et si méritants (évidemment).

Dans son domaine, elle est une pointure. Et quand on a vu le bas, on ne peut qu’être irrémédiablement attiré par le haut, encore plus haut.

Elle a l’esprit caustique et pratique un humour corrosif. C’est une forme de défense, car quand elle est, très rarement, elle-même, elle n’est pas si méchante.