
Entolome gris-rosâtre (ou rose-gris) – Entoloma rhodopolium. Champignon d’Eurasie, dégageant une odeur de chlore ou d’eau de Javel. Vous voilà prévenus !

Entolome gris-rosâtre (ou rose-gris) – Entoloma rhodopolium. Champignon d’Eurasie, dégageant une odeur de chlore ou d’eau de Javel. Vous voilà prévenus !

Tricholome prétentieux – Tricholoma portentosum. Cette espèce est originaire de l’ensemble de la zone paléartique, son mycélium entretient une symbiose mycorhizienne principalement avec les pins sylvestres et plus largement avec d’autres espèces de pins. Comestible réputé et reconnu à son goût iodé, est apprécié dans l’ensemble de l’Eurasie. Ne pas confondre avec le Tricholome de Josserand qui est toxique.

Tricholome soufré – Tricholoma sulfureum. Ce champignon, qui dégage un odeur de gaz de houille, pousse dans les forêts d’ Eurasie et d’Amérique du Nord. on le rencontre fréquemment sous les feuillus et plus rarement sous les conifères. Non comestible car il pourrait provoquer des troubles gastro-intestinaux et contenir de l’hémolysine, une toxine susceptible de détruire les globules rouges.

Avec un peu d’imagination, l’ombre portée sur la façade de ce bâtiment, conçu par un célèbre architecte de la fin du XXème siècle, forme un « A », dans une police de caractères futuristes. Ce qui ne trahit pas la volonté de l’illustre maître-d’œuvre, dont pour quelques rares initiés de la chose architecturale, nous indiquerons le nom : Paul Chemetov (1928-2024).

Un monde de découvertes.

Bien gardée !

Il s’agit d’une peinture de Pierre Soulages (1919-2022) le maître de l’outrenoir. Nous ignorons quel est le titre du tableau, et même si nous n’apprécions pas particulièrement la débauche de noir, force est de reconnaître qu’il y a ici un dynamisme évoquant la beauté des plus étranges créatures du monde des insectes.

Chacun peut créer le sien, à partir de morceaux librement choisis. Pour donner un peu de solennité à l’entrée de « mon » musée, excusez du peu, j’ai choisi le grand escalier du Louvre. Cela donne vraiment envie d’aller voir plus haut.

Il ne faut pas avoir peur d’aller au musée. C’est une ouverture sur un autre monde.

Cet appareil photo assez étrange et même un peu inquiétant, de fabrication soviétique, datant des années 1960 était une copie assez frustre du Widelux japonais et produisait directement sur un film argentique 35mm des images panoramiques de dimensions 24×58 mm. Aujourd’hui la photo numérique permet facilement de créer cette illusion d’horizontalité, mais encore faut-il qu’elle ait été imaginée avant d’appuyer sur le déclencheur.