
Toujours dans le massif de l’Isalo (prononcer « Issale »), quand les rayons du soleil couchant, teintent d’ocre les crêtes rocheuses aux formes suggestives.

Toujours dans le massif de l’Isalo (prononcer « Issale »), quand les rayons du soleil couchant, teintent d’ocre les crêtes rocheuses aux formes suggestives.

Il existe dans le massif de l’Isalo au sud-ouest de Madagascar, une montagne qui s’appelle « la femme-serpent », dont la particularité est de présenter tous les attributs de la féminité anthropo-morphique. Nous avons pu randonner à pied pendant quelques jours dans cette spectaculaire formation de grès d’origine jurassique (-205 à -135 millions d’années), dont l’altitude varie de 515m à 1268m et que l’érosion a entaillé de profond canyons, hérissés de pics aux formes étranges. Il n’y fait pas froid !

Cette remarquable sérigraphie est une œuvre majeure de Pierre Soulages (1919-2022). Le maître de Rodez, adepte exclusif du noir, ne vivait évidemment pas de sa peinture qui, d’après les rares amateurs, manquait sérieusement de couleurs. Aussi pour vivre, en a-t-il été réduit à dessiner de la vaisselle pour les célèbres manufactures aveyronnaises. Ses modèles qui étaient frustres et mal finis, n’ont pas rencontré un grand succès. Mais maintenant qu’il est mort, sa côte devrait monter, alors si vous avez de la vaisselle signée « Soulages », gardez-là.

Il y avait un petit moment que l’on n’avait pas vu ici, une jolie femme déshabillée. Ce qui nous a valu des courriers de protestations de nos fidèles lecteurs, légitimement courroucés.

Les petits cactus sont comme les petits cailloux, je ne m’en lasse pas.

Il était parti, mais était toujours là.

Cette figure en terre cuite provient d’un pays du centre de l’Afrique dont j’ai oublié le nom. J’ai recopié l’image dans un livre que j’ai également oublié. Ce qui est bien commode et coupe court à toute éventuelle question.

La femme élégante vient du début du XXème siècle, le chien n’est arrivé que 75 ans plus tard. Cela se passait un 1er janvier sur la plage de Cabourg. J’ai juste eu le temps de prendre la photo, avant qu’ils ne disparaissent dans une autre dimension.

La beauté infinie des galets ramassés sur la plage. Ce n’est pas si facile que cela à photographier, car il faut jouer sur la nuance lumière et contraste.

Toi qui a beaucoup voyagé, raconte-nous une histoire.