Anne-la-mollasse

Mme Hidalgo est la seule de la bande des quatre qui a un peu travaillé et utilement, puisqu’elle a été – pas longtemps – inspectrice du travail, avant de faire carrière au parti socialiste. Sa gestion financière catastrophique de la ville de Paris, qu’elle masque par des artifices comptables, conduirait un simple citoyen derrière les barreaux. Elle change d’avis comme une girouette et ne cesse de se contredire. Elle a réclamé une primaire à gauche, qu’aujourd’hui elle conteste, par peur du résultat qui lui serait défavorable. Son insignifiance ferait presque pitié, si ses niaiseries ne coûtaient pas si cher aux contribuables.

Valérie-la-coincée

Mme Pécresse est une grande bourgeoise technocrate qui n’a aucune idée personnelle. Elle se réclame de Chirac et de Sarkozy (quel héritage !) pour ânonner des platitudes et avancer des idées éculées. Elle n’a jamais vraiment travaillé, car siéger au Conseil d’État ou professer le droit constitutionnel, ça ne sert à rien, sauf à percevoir un très gros salaire. Toujours avec un train de retard, elle n’a ni personnalité, ni humour, et quand elle s’y essaie, c’est un désastre. Son Karcher n’est qu’un pistolet à eau qui n’effraie personne et ses petites phrases qu’elle voudrait assassines, tombent à plat, très au-dessous de la vivacité d’esprit du président sortant.

La galerie des patates

Mais que font les organisations féministes ? Les quatre candidates à la prochaine élection présidentielle, sont particulièrement gratinées ! Ces dames ont en commun leur inconsistance et leur médiocrité, à un tel niveau, qu’on se demande si on ne préfèrerait pas voter pour une table ou une chaise qui, au moins, servirait à quelque chose. C’est le » quarté » perdant.

L’astéroïde B 612

Le télescope spatial géant, qui vient d’être envoyé vers les étoiles par une fusée Ariane V, depuis la base de Kourou, a permis de localiser et de photographier, avec une précision stupéfiante, le petit astéroïde, mentionné par l’écrivain-aviateur de Saint-Exupéry, dans son célèbre livre. Ceux qui ont bonne vue, devrait apercevoir le Petit Prince dialoguant avec une rose.

Vol de nuit

C’est au-dessus du grand désert marocain, que le moteur de l’avion a commencé à sérieusement cafouiller, à cause d’une fuite d’huile. Une inquiétante odeur de frites s’est répandue dans l’habitacle. La cargaison de pommes de terre était en train de partir en fumée.

Gros plan martien

Sur cette vue rapprochée, prise à basse altitude, on distingue parfaitement au centre, le cratère du volcan Arsia Mons qui culmine à 27 000 m d’altitude et qui était encore en activité, il y a seulement 200 millions d’années. Et sur la droite, on aperçoit d’anciens canaux, vestiges de rivières asséchées.

photo Agence Spatiale Européenne )

Changez de lunettes !

Ceux qui voient une mandarine pourrie, se trompent. Il s’agit de la planète Mars photographiée par un nano-satellite que vient de lancer l’Agence Spatiale Européenne. La photo résultant d’une image composite reconstituée par ordinateur et dont on doit souligner la remarquable qualité, montre parfaitement l’une des deux calottes polaires, encapuchonnée de glace.

(photo Agence Spatiale Européenne)

Cœur de patate

Elle m’a ému et je n’ai pas pu la manger. Comme l’a si bien écrit Antoine de Saint-Exupéry dans « Le Petit Prince », son œuvre éternelle, « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux de la pomme de terre ».