La course du lièvre…

… À travers les champs. C’est le titre du scénario d’un film, devenu un roman écrit par un auteur qui, en dépit de la faiblesse de ses histoires et de la médiocrité de son écriture, a connu un incontestable et durable succès, grâce aux adaptations cinématographiques. Le meilleur de son œuvre, était dans les titres, plutôt originaux. Mais les contenus étaient négligeables.

Souvenir d’enfance

Enfants, ils passaient leurs vacances d’été dans la ferme de leurs grands-parents en Lomagne. Ils adoraient, par-dessus tout, dormir dans le grenier pour regarder la Lune qui, dans son lent cheminement nocturne, s’arrêtait au-dessus de la lucarne du toit pour leur raconter des histoires de voyages.

Là-bas

En fin de journée, les voyageurs aperçurent, au-delà de l’aride plateau caillouteux, le cône du « Vieux Gardien », ce volcan déclaré éteint, mais dont le sommet était en permanence surmonté d’un nuage, annonciateur d’un possible réveil. Notre agent, qui s’était mêlé au petit groupe de touristes, savait que désormais il approchait du but de sa mission.

Une enseigne inappropriée

Dans la petite ville de M… qui se targue d’être une capitale locale du Midi, et où habituellement il ne se passe rien qui mérite d’être relaté, un restaurateur a eu la très mauvaise idée de baptiser son établissement du nom de « Poutine House ». Ce nom, aujourd’hui honni, ne se réfère pas au dictateur russe, psychopathe et criminel de guerre, mais à une « délicieuse spécialité culinaire » québécoise, qu’en France on hésiterait à donner à manger aux cochons. Résultat, cet honnête commerçant est l’objet de menaces, que dans sa naïveté il ne comprend pas. S’il changeait le nom en « Zelenski » ou « Ukraine House », non seulement il n’aurait aucun problème, mais à coup sûr il augmenterait grandement son chiffre d’affaires. Après tout, quand en 1940, le pâtissier viennois (en Autriche) Franz Hitler, qui n’avait aucun lien avec le führer nazi, a créé une spécialité qui s’appelait « Hitler au chocolat », il a dû changer pour « Éclair au chocolat » (Blitz schokolade dans le texte), qui a eu tout autant de succès. Il faut savoir s’adapter, que diable !

Une histoire à faire peur

Autrefois dans la grande forêt d’un pays lointain qui s’appelait la Russie, vivait un ours E-NOR-ME. Cet ours qui s’appelait Vladimir, était très fort et très méchant. Il terrorisait ses voisins pour qu’ils lui obéissent. Un jour Vladimir a voulu faire la guerre à un petit pays qui s’appelle l’Ukraine. Mais les ukrainiens qui étaient très courageux, se sont battus très longtemps contre Vladimir et à la fin, ils ont gagné. Le méchant ours a dû retourner au fond de sa forêt, et ses voisins, qui avaient encore plus peur de lui parce qu’il était devenu fou d’avoir perdu la guerre, ont dû l’enfermer jusqu’à la fin de sa vie dans une cage avec des barreaux très solides. Depuis, tout le monde vit heureux dans la grande forêt, mais la Russie n’existe plus.

L’énigme de Roswell

Au matin du 8 juillet 1947, la base aérienne des bombardiers atomiques de Roswell au Nouveau-Mexique, annonce par un communiqué de presse, la découverte d’un OVNI en forme de “soucoupe volante”, qui s’est écrasé dans une zone désertique à environ 50 miles au nord de la petite ville. Le soir même, la hiérarchie militaire dément et indique qu’il y a eu confusion avec un ballon météo (sic). Pendant 50 ans, le secret absolu est imposé par les autorités gouvernementales américaines, parfois sous forme de menaces, à l’encontre des nombreux témoins (militaires et civils) ainsi que leurs familles, mais qui, plusieurs dizaines d’années après, commencèrent à parler et firent même état de cadavres de créatures non terrestres sur les lieux du “crash”. Aujourd’hui, après plus de 70 ans, le Pentagone n’admettra pas la réalité de l’évènement qui prouverait que nous ne sommes pas seuls dans l’univers et que nous avons déjà été visités.