Le sourire de la Joconde 1

Première ébauche. Les détracteurs de Léonard de Vinci (ils ne sont pas nombreux) diront qu’il ne s’est pas foulé et qu’il commençait sérieusement à « sucrer les fraises ». Les autres, dont nous sommes, y verront la fulgurance du trait et la prémonition artistique, annonçant Henri Matisse, quatre siècles plus tard.

Encore une valise mystérieuse !

Grâce à notre réseau d’informateurs, nous avons à cœur de tenir nos nombreux et fidèles lecteurs, informés des derniers évènements de l’actualité aussi culturelle que médiatique. En l’occurrence, il s’agit de la récente découverte dans les ruines d’une dépendance du Manoir du Clos de Lucé, où Léonard de Vinci passa les dernières années de sa vie, d’un nouveau carnet de dessins du grand génie. Ce recueil a la particularité exceptionnelle, de contenir les dessins préparatoires pour le portrait de la Joconde, qui expliquent enfin l’énigme de son fameux sourire. Dans les jours prochains, nous publierons les « meilleures feuilles » de cet inestimable trésor.

Modèle biscornu

Une synthèse de plusieurs croquis d’atelier. Ce modèle était particulièrement souple et inventif, il fallait la « croquer » d’un seul jet en moins de cinq minutes. À la plume directe, le résultat est assez satisfaisant, surtout après un été où j’ai commencé à explorer le médium du pastel.

Chochotte

Elle avait eu le nez cassé lors d’une séance d’entraînement de boxe française, où sa partenaire, qui ne mesurait que 1,53 m pour 87 kg, lui avait expédié une magnifique « savate » qui avait mis un point final à ses velléités de carrière sportive.