Cette figure en terre cuite provient d’un pays du centre de l’Afrique dont j’ai oublié le nom. J’ai recopié l’image dans un livre que j’ai également oublié. Ce qui est bien commode et coupe court à toute éventuelle question.

La femme élégante vient du début du XXème siècle, le chien n’est arrivé que 75 ans plus tard. Cela se passait un 1er janvier sur la plage de Cabourg. J’ai juste eu le temps de prendre la photo, avant qu’ils ne disparaissent dans une autre dimension.

La beauté infinie des galets ramassés sur la plage. Ce n’est pas si facile que cela à photographier, car il faut jouer sur la nuance lumière et contraste.

Toi qui a beaucoup voyagé, raconte-nous une histoire.

Aujourd’hui dimanche, des entrées maritimes ont rempli le ciel d’une lumière fuligineuse. Allé en vélo jusqu’à la mer, j’ai trouvé sur la plage ce morceau de coquillage semblable à un fragment de tablette d’argile recouverte d’une écriture phénicienne.

Un son planant venu d’ailleurs.

Les prévisions météo n’étant pas très bonnes, ce grand volateur marin se replie prudemment vers rivage.

La décérébrée Jacinda Ardern, qui accessoirement, est première ministre de Nouvelle-Zélande, a décidé de sévir contre les responsables du réchauffement climatique, que sont… les vaches. Dans ce pays, les éructations et les bouses des paisibles bovidés, vont donc être taxées. Quelle clairvoyance et quel courage politique ! Il faut préciser que là-bas, il n’y a pas de vaches, mais uniquement des moutons. Mme Ardern qui a le physique chevalin, va-t’elle s’appliquer la même punition ? Cette idée est du même niveau que celle des deux pseudo-militantes qui, pour « défendre l’environnement » (sic), ont récemment, dans la National Gallery de Londres, aspergé de soupe à la tomate, le tableau « Les Tournesols » de Van Gogh. On touche vraiment le fond de la connerie, où les femmes sont en train de rejoindre, sinon dépasser les hommes. Vive l’égalité des sexes.

Hier soir à l’atelier, nous avons eu un « couple » de modèles. En fait un homme et une femme qui pour poser paraissaient aussi assortis qu’une carpe et un lapin. Ils étaient figés l’un à l’autre, sans imagination ni sens de l’espace et du mouvement. Résultat, une séance particulièrement morne et décevante, où mon crayon s’est égaré dans un salmigondis de lignes dénuées de passion. Avec les couples, on ne m’y reprendra plus.

L’ingénieur et pionnier de l’aviation, Clément Ader (1841-1925), lors de sa tentative de décollage réalisée le 9 octobre 1890 dans le parc du château de Gretz-Armainvilliers, près de Paris.