Élevons le débat

Il s’agit d’une galaxie qui pourrait s’appeler EGS, GRB ou NGC, avec pour faire sérieux trois ou quatre chiffres à la suite, et qui vient d’être découverte grâce au fameux télescope spatial, dont le nom (hubble) fait penser aux borborygmes d’un encombrement digestif. Les couleurs ont évidemment été restituées par ordinateur.

Ne pas trop rêver

Sur cette image rapprochée de la planète Mars, on voit effectivement dans sa partie équatoriale, à proximité de deux volcans, l’un encore actif à gauche, l’autre éteint à droite, une large zone de steppe aujourd’hui aléatoire, mais qui à terme pourrait se transformer en pâturage pour le bétail. Le sympathique mais idéaliste spationaute Pesquet (prononcer pesquoutte), qui se voit déjà gardant des moutons ou des chèvres sur Mars, suit actuellement un stage de berger sur le plateau du Larzac. Si vous passez par là, il est facile à reconnaître, tous les autres portent un béret, lui il est en combinaison spatiale !

Des nouvelles de Mars

Voilà qui devrait réjouir, le sympathique spationaute français Thomas Pesquet (prononcer pesquouette). Le réchauffement climatique se fait également sentir sur la Planète Rouge, dont les glaciers sont en train de se transformer en une zone herbeuse de steppe, telle que l’on peut la voir sur cette récente photo recomposée par ordinateur et prise par un satellite de l’Agence Spatiale Européenne.

Corps céleste

Cet astéroïde qui vient d’être découvert au large de Jupiter, présente des caractéristiques particulièrement originales pour être soulignées. D’une part, une forme aérodynamique due à sa très grande vitesse de rotation autour de la planète géante, d’autre part, la présence d’un volcan – l’un actif, l’autre éteint – à chacun de ses pôles, enfin une large ceinture de glace dans sa partie équatoriale. Il n’a pas encore été baptisé, car son découvreur, un célèbre astronome allemand, dont par charité nous tairons le nom, n’a toujours pas émergé de la cuite qu’il s’est offerte pour fêter sa découverte.