
Rêve de contrée paisible. Peut-être pas l’Arcadie, mais si ça y ressemblait, ce ne serait pas mal.
Rêve de contrée paisible. Peut-être pas l’Arcadie, mais si ça y ressemblait, ce ne serait pas mal.
C’est décidé, mais… Où, Quand, Comment ? Et avec quelques nuits d’insomnie.
Je me souviens de la randonnée autour du Cervin, effectuée pendant une semaine il y a quelques années. Cet été-là, il faisait déjà particulièrement chaud, mais à l’époque c’était exceptionnel, et même à plus de 2000 m, la traversée des glaciers était dangereuse à cause de la fonte et de la faible portance de la glace. Nous étions mal équipés, résultat le spectaculaire périple s’est transformé pour certains en galère anxiogène. J’ai quand même rapporté de superbes photos qui ont été publiées l’année suivante, dans le catalogue de l’agence de voyages. Sans mon autorisation, mais c’est une autre histoire.
Grèce du Péloponnèse, péninsule du Magne, entre les golfes de Messènie et de Laconie. On se croirait dans l’Irlande du Connemara, avec les poneys en moins, remplacés par d’antiques tours de défense datant de l’époque vénitienne.
Nostalgie des années 1950.
C’est tout un savoir-faire, mais pour moi une vraie corvée. En fait, il faut limiter ses bagages et n’emporter que l’essentiel, comme l’exemple présenté sur cette image. Aucun risque de s’ennuyer, tout y est.
Tracé à main levée sans règle. Un bon test de maîtrise psychomotrice. En cette période de forte chaleur, c’est plutôt satisfaisant sur l’état du dessinateur.
Vous prenez un crayon, une plume, un calame, de l’encre de Chine et quelques bâtons de pastel. Vous mettez le tout dans du papier d’emballage, vous secouez vigoureusement jusqu’à ce que le mélange soit homogène et onctueux. Servir frais et à déguster sans modération.
L’art de ne rien faire est une manière très honorable de passer les vacances d’été. Nombreux sont ceux qui les ont bien méritées, en dépit du discours sempiternellement chagrin des « sauveurs de la planète ».