Avec Éva qui a été très sage mais un peu inquiète, ce qui se comprend dans les rues de Montpellier où la cohabitation vélos- voitures est plutôt sportive. Les puristes nous diront que la photo est déformée, ce qui est exact et est due à la vitesse élevée de déplacement du fol équipage par rapport à l’appareil photographique. De plus nous rappellerons à nos lecteurs cultivés que la photo la plus célèbre du non-moins célèbre photographe Jacques-Henri Lartigue (1894-1986) représentant une voiture de course du début des années 1900, lancée à pleine vitesse, est totalement déformée, c’est ce qui lui donne ce magnifique effet graphique qui a du jour au lendemain propulsé son auteur au firmament de la scène photographique du XXème siècle.
La traque
Caché au dernier étage de l’usine désaffectée, il vit un ptérosaure de la police passer dans le chuintement de ses ailes nervurées.
Culbute
Cela se passe dans les contrées antipodales découvertes par les valeureux explorateurs et géographes des siècles passés.
A cappella
Les fils de la clôture chantent dans le vent qui s’est levé sur le plateau de l’Aubrac.
Approche
A bord du Concombre sidéral, les calculateurs électroniques tournaient à plein régime pour aider le pilote à franchir le champ d’astéroïdes qui protégeait la station orbitale.
Réminiscence
Le mistral soufflait de plus en plus fort. Par le sentier herbeux, il s’approcha de la maison qui paraissait inhabitée depuis longtemps, rien ne semblait avoir changé. Et brusquement affluèrent les images de Marieke.
Quelque part
De la route, il aperçut la maison dissimulée par les grands arbres qu’agitait un fort mistral. Il gardait encore le souvenir du vent qui isolait la propriété du reste du monde.
Souvenir souvenir
Couple de pèlerins sur le chemin de St Jacques-de-Compostelle.
GR 65
Sur la draille du plateau d’Aubrac, entre Nasbinals et la Domerie d’Aubrac.
Contact
Cette image de la rencontre avec un robot humanoïde descendu d’une soucoupe volante, m’a été inspirée par le film « Le jour où la Terre s’arrêta », réalisé par Robert Wise en 1951 et qui malgré des décors en carton-pâte et des trucages élémentaires, a plutôt bien vieilli et a gardé une réelle forme de poésie imaginative. Ce qui n’est pas les cas du remake ( en bon français on dirait le resucé) de 2008 qui est un désastre.