Idem que la précédente image, mais avec des rehauts de pastel gras. On en a plein les doigts, mais à la reproduction, le résultat est « globalement positif », comme disait un responsable politique à propos de tout autre chose. Ceux qui ont bonne vue, apercevront à droite devant le porche de la remise, deux des copains de la randonnée en train de pique-niquer sous un ciel incertain, que de mémoire je vois jaune mais qui en réalité était gris.
Quelque part (Bis)
Le même dessin que le précédent, avec en plus quelques rehauts de pastel, pour donner de la matière. L’inconvénient est que le scanneur a tendance à noircir les couleurs foncées et à augmenter le contraste.
Quelque part…
… ou nulle part. On vous a déjà servi cette vieille ferme abandonnée dans le parc des volcans au cœur du Massif Central. La première version était à la plume, la deuxième au pastel et celle-ci est à l’aquarelle rehaussée de traits à l’encre de Chine. Objectivement, les nuages sont plutôt réussis et l’herbe n’est pas si mal.
Papillon improbable
Ce lépidoptère dont l’espèce n’a pas été précisément identifiée, provient de la zone paléoartique et appartient vraisemblablement à la famille des Pieridae. Ses chenilles sont de redoutables ravageurs des cultures.
Nuages
Ça bave, ça dégouline, ça se mélange. Les aléas chromatiques dont l’attrait est double, d’abord pendant que les couleurs font le travail, je me repose et ensuite il y a l’effet de surprise toujours imprévu. Donc pas de raison de s’en priver, même si le bon résultat n’est jamais garanti.
Un moment d’égarement …
Focalisé par mon appareil photo, j’avais perdu de vue le groupe et je ne retrouvais pas le sentier, ce qui n’était pas inhabituel et -à juste titre- déplaisait particulièrement au guide. Mais j’ai été récompensé par la rencontre avec cette fleur scintillante de rosée. Cela s’est passé en été dans le massif du Grand Bornand en Haute-Savoie. En voyant la photo, le soir au chalet, le guide m’a absous.
En route
Je ne sais pas ce qu’il dessinait, mais il était idéalement placé, dans un double virage qui remontait au loin. Grâce au puissant téléobjectif qui équipait l’appareil, la perspective a été concentrée et l’effet visuel voulu a été obtenu, sans déranger l’artiste. C’était, il y a longtemps, quelque part dans le centre de la France, en route pour la Normandie. Depuis le tableau a dû être terminé et la peinture a eu largement le temps de sécher. C’est peut-être un chef-d’œuvre qui maintenant figure dans un musée ou une riche collection privée.
Fin de parcours
Après deux semaines sur le chemin du champ des étoiles (de Compostelle), arrivée à la basilique St-Sernin de Toulouse où chacun promet de se retrouver l’année suivante pour continuer ensemble. Mais la vie en décide autrement.
Près de l’horizon
C’était après le confinement. La campagne paraissait encore plus belle et la nature, qui avait été préservée pendant plusieurs mois, semblait régénérée. Comme quoi, même des marcheurs, aussi respectueux qu’ils soient, sont néfastes à la bonne santé de l’environnement. La mise au point est un peu floue, c’est l’émotion.
À l’endroit à l’envers
Cela faisait un moment que le crayon rêvassait dans une oisiveté certaine. Ce genre de sujet permet une salutaire et agréable reprise en main.