Un héros posthume

Depuis la mort de son créateur en 1987, le plus célèbre héros de la BD franco-belge n’en finit pas de subir les avatars d’aventures aussi insipides qu’obsolètes, péniblement éructées par des scénaristes sans aucun talent qui recyclent sempiternellement les mêmes histoires, « ad nauseam ». C’est nul mais ça rapporte.

Casa blanca

La maison du charbonnier. Ça s’appelle un dessin plus que simplet, mais qui figurerait honorablement dans certains livres pour enfants, où les auteurs ne se cassent pas trop. Ici au scannage le fusain a charbonné, résultat les brins d’herbe que j’avais amoureusement dessinés ont disparu dans une bouillie noirâtre du plus mauvais effet.

La vie en rose

Pochade sur une chute de papier grande comme un timbre-poste, à l’origine destiné à finir à la poubelle. Sans objectif de résultat, c’est plutôt encourageant. Pour éclairer nos hypothétiques jeunes lecteurs, nous devons préciser qu’un « timbre-poste » était une petite vignette imprimée que l’on collait sur l’enveloppe d’une lettre pour payer son port et sa livraison par un facteur. Encore fallait-il avoir quelque chose à dire et savoir l’écrire. Aujourd’hui à l’époque du SMS et de l’inintelligence artificielle ce concept des siècles passés est devenu sans objet.