À 17€, c’est beaucoup plus raisonnable et cela correspond d’ailleurs au tarif syndical de la péripatéticienne de base qui, de nuit, arpente les parkings municipaux. Comme, par exemple, celui des Arceaux à Montpellier. Là où s’est fait prendre Jean Moulin, ce grand résistant, piégé par la Gestapo qui, par un informateur, avait eu connaissance de son appétence pour les femmes de petite vertu. La ville a fait apposer une plaque commémorative, qui ne donne pas de détail susceptible d’ébranler la statue du grand homme.

Un travail alimentaire du maître de Lomagne qui, contraint de trouver une régulière source de revenu, a durant toute sa carrière, collaboré avec notre Administration fiscale (que le monde entier nous envie), pour laquelle il a dessiné des timbres-amendes. Celle-ci de 90€, est particulièrement prohibitive. Et franchement, maigrichonne comme elle est, cela ne paraît pas justifié. Que c’est dur la vie d’artiste !

Toujours une image du maître de Lomagne. On sent que l’intimité avec le modèle, est plus grande.

Collection particulière

Une image du maître de Lomagne, caractéristique de son remarquable style rustique et de son prodigieux sens de la lumière.

Collection particulière

C’est un américain venu, très jeune en France, pendant la 2ème guerre mondiale et qui est resté chez nous. Artiste célèbre, il vit désormais en Lomagne, où dans le pays on l’appelle, avec un peu de familiarité mais beaucoup de respect, « Le Cyclope ». Au soir de sa vie, il consacre son talent au portrait de femmes et d’arbres. On ne voit pas toujours la différence dans ses images.

La rédaction espère pouvoir prochainement, présenter ses œuvres, à ses nombreux et fidèles lecteurs.

L’abus d’omelette aux champignons hallucinogènes, provoque des difficultés de digestion et des rêves aussi récurrents qu’incontrôlés.

Accablé par la chaleur, Monsieur l’Artiste s’était endormi dans sa – toujours – fidèle Renault 4L, qu’il avait garée à l’ombre d’un chêne kermès. Mais tandis qu’il rêve de son prochain chef-d’œuvre, le temps s’est écoulé et maintenant la nuit est tombée. Tant pis, le chef-d’œuvre attendra.

Prise avec un appareil photo très frustre. Ce n’est pas net, mais le flou est artistique. Ceux qui ont bonne vue ou de l’imagination, apercevront des lucioles virevoltant au pied de du grand arbre. Retour en enfance.

Le grand maître autrichien Gustav Klimt (1862-1918) a, durant une dizaine d’années, passé ses vacances d’été au bord de l’Attersee (lac de Haute-Autriche), où il a peint ses plus célèbres et nombreux paysages, qui ont pour points communs, un effet de perspective écrasée et un format carré (dimensions des tableaux 110 x 110 cm). Pour ce faire, il utilisait une longue-vue et un viseur carré en carton. Ces objets iconiques se trouvent désormais dans une collection privée. On ne peut qu’admirer l’ingéniosité de celui qui a vendu – sûrement fort cher – à un collectionneur fortuné, une vieille longue-vue récupérée dans une brocante et un bout de carton, très ordinaire, qu’il a grossièrement découpé pour faire plus authentique. L’Art avec un grand A comme Argent !

À l’est, les premières lueurs du soleil levant, commencent à poindre derrière le roi, gardé par les silhouettes hiératiques des poteaux électriques.