Le maître Edgar Degas poursuit son exploration des bas-fonds de Tôkyô. On peut ici apprécier son goût pour les femmes replètes. Ce qui était d’ailleurs l’idéal du canon de beauté féminin de son époque. D’après nos recherches (purement livresques s’il est besoin de le préciser), cela devait se passer dans un « café sans culottes » de Higashinagasaki, un quartier d’habitation à forte densité d’immeubles locatifs, un peu à l’écart des rues animées de la capitale nippone.