Cinq cents ans après, grâce à une découverte aussi fortuite que quasi-miraculeuse, qui vient d’être faite dans les pharaoniques réserves du musée du Louvre, l’énigme du mystérieux sourire de la Joconde, a été élucidée. Lisa Maria Gherardini qui était une assez obscure courtisane à Florence, avait demandé à Léonard de Vinci, un tableau publicitaire destiné à vanter ses charmes. Le tableau se composait d’un diptyque, dont la partie haute, la représentait en buste, habillée et dans une pose modeste, c’est la célèbre Joconde que des millions de touristes, viennent chaque année admirer au Louvre. La partie basse, représentant ses indéniables charmes intimes, était destinée à attirer le chaland et à faire monter les enchères. Nul doute que désormais, ce sont les finances de notre grand musée – que même les chinois et les qataris nous envient – qui vont être stimulées par la présence de ce nouveau chef-d’œuvre, lequel, une fois encore, fait honneur au bon goût et au charme français.