Toujours sur papier d’emballage. Respectueuse de la tradition esthétique japonaise, elle s’était recouvert le visage de blanc et noirci les dents, pour mettre en valeur son authentique beauté, ainsi que le décrit avec finesse et humour, l’écrivain Junichirô Tanizaki, dans son clairvoyant essai « Éloge de l’ombre » (que l’on trouve en français).