Fragment de poterie datant de la période post-atomique, et caractéristique par son style dit à figures noires. Il s’agit évidemment d’une image votive évoquant un passé idéalisé, car depuis la dernière conflagration nucléaire planétaire, il y a maintenant près de trois siècles, nul ne se risquerait à se prélasser au soleil.
J’aime beaucoup ton blog, autant pour l’inspiration renouvelée que pour la qualité des dessins mais aussi des textes . J’aime la langue !
Cela mériterait surement une édition papier plutôt que la perte de ces données dans l’univers cosmique intersidéral du net lorsque le blog aura cessé d’émettre…..
Un ami crobien qui regrette ton absence aux crobarts qui, d’après ce que j’ai pu extrapoler de tes commentaires , est due en partie à la « musak » (terme utilisé autrefois pour désigner la musique d’ascenseur !) émise par FIP sur le poste de radiodiffusion pendant la pose du modèle.
Mais pas que…. l’ennui et la répétition peut-être ?
Je constate au passage avec plaisir, par la récurrence des dessins y faisant référence, qu’une forme de beauté plastique liée à la nudité fait encore partie de tes sources d’inspiration….
Albert, merci pour tes encouragements et bien vu en ce qui concerne mes sources d’inspiration. Je regrette aussi de ne plus aller aux séances de dessin d’après modèle dit « vivant ». Même si je n’en étais pas très « aficionado », ce n’est pas la musak qui m’a rebuté ou plutôt déçu, c’est le manque de proximité avec le modèle et surtout le bavardage quasi permanent. Mais peut-être reviendrai-je en début de la nouvelle année – si c’est possible – ou en septembre prochain, maintenant que je sais qu’il y a encore quelques esprits clairvoyants.