Après quelques jours, le plateau de l’Aubrac avait retrouvé sa sérénité. L’aérolithe, qui s’était refroidi et avait perdu toute luminescence, faisait désormais partie du paysage et sa présence n’étonnait plus les randonneurs qui circulaient sur le bien nommé Chemin de Compostelle (champ d’étoiles).