
Lorsqu’on veut représenter par le dessin la beauté d’un lépidoptère, l’une (ou la plus grande) des difficultés est d’atteindre à la perfection de sa symétrie. Il existe divers moyens plus ou moins commodes, mais celui qui semble le mieux nous convenir est le « miroir », comme celui d’Alice de Lewis Carroll. On ajoute quelques touches de couleurs et on obtient un Euschemon ou un Koruthaialos, à moins que ce ne soit un Delias, de la zone d’Asie méridionale d’Indo-Malaisie, évidemment.