Illuminé par les derniers feux du couchant, le grand volateur (comme l’écrivait Jules Verne) glisse au-dessus des falaises que caresse la marée étale. C’est le genre de paysage qu’on ne se lasse pas de contempler chaque jour depuis sa fenêtre. Mais je n’ai pas à me plaindre car je vois un fleuve et donc si je le suis, je devrais arriver jusqu’à la mer.