Cela vaut la célèbre photo de la première empreinte de pied sur la Lune. Si on continue, la Terre va rapidement se transformer en une planète désolée et ce seront les extra-terrestres qui viendront, dans un futur plus ou moins lointain, y faire de l’archéologie spatiale. Ce qui ne semble pas inquiéter le sympathique, mais naïf, spationaute français Thomas Pesquet (prononcer pescouette) qui rêve toujours d’aller sur Mars pour sauver la Terre.