Moteur, action !

Dans une rue de New-York en 1955, le jeune Stanley Kubrick derrière la caméra pendant le tournage de son deuxième film « Le Baiser du tueur », un thriller à petit budget dans lequel le cinéaste débutant fait déjà preuve de son indéniable talent naissant, même s’il estimait qu’à ses yeux, c’était du travail d’amateur. Ce jugement sur lui-même est trop sévère, car il s’agit un très honorable film noir de série B, laissant pressentir la filmographie exceptionnelle de ce grand cinéaste qui, dans son œuvre, n’a cessé de rechercher la perfection.

Boîte-à-livres

On trouve de tout dans les boîtes à livres. Généralement du mauvais et même très mauvais, à peine bon pour le recyclage du papier. Et quelquefois, mais c’est extrêmement rare, de bons livres. Celui m’a intéressé parce qu’il n’avait pas d’allure (aucune image de couverture, ni dans les pages intérieures) et paraissait assez ancien. Pour résumer, ce sont les souvenirs, en anglais, d’un sud-africain qui raconte son Afrique après la deuxième guerre mondiale. Ce qui m’a plu, ce n’est pas l’histoire que je n’ai pas lue, mais les pages imprimées, pour servir d’arrière plan à des dessins.

La maison hantée

C’était une vieille demeure de style élisabéthain, isolée dans les Highlands, où ils étaient péniblement arrivés après avoir essuyé de violents orages, qui, à plusieurs, avaient failli précipiter la voiture dans les fossés. Les propriétaires les attendaient, mais ils avaient l’air aussi bizarres que leur étrange bâtisse. Les enfants étaient très fatigués et il était trop tard pour repartir.

Très impressionnant

Le Lucane cerf-volant, Lucanus cervus, doit son nom vernaculaire aux imposantes pièces buccales du mâle qui rappellent les bois de cerf. Malgré leur taille, ce sont cependant les mâchoires plus petites de la femelle qui pincent le plus. Un si remarquable spécimen, évoque l’une des plus célèbres histoires d’Edgar Poe, Le Scarabée d’Or.

« L’insecte qu’il laissait filer apparaissait maintenant au bout de la ficelle, et brillait comme une boule d’or brunie aux derniers rayons du soleil couchant »

En couleurs

Les Morphidae sont de somptueux papillons des contrées tropicales, se caractérisant par un vol exceptionnellement puissant, grâce à la grande taille de leurs ailes, dont l’éclat et les couleurs, font de ces lépidoptères, la passion des collectionneurs. La métamorphose du cycle de vie des lépidoptères, fait l’objet d’une grande fascination depuis la plus lointaine Antiquité. Les Égyptiens faisaient une analogie entre l’âme humaine et l’insecte ailé émergeant de sa chrysalide.

Portrait anonyme

La belle, venue par les USA en vacances d’été en France, était d’origine sud américaine, elle travaillait pour le premier producteur de tabac de son pays, où elle s’occupait du « marketing ». Par chance, elle ne fumait pas et avait d’autres qualités dont un intérêt certain pour la culture française ce qui la rendait encore plus sympathique.

Pas si pacifique

Le Trémex colombe – Tremex columba est un insecte de la famille des Ciricidae, proche parent des guêpes, mais inoffensif car il ne possède pas de dard. Présent en Amérique du Nord, il peut mesurer jusqu’à 5 cm de long. Il pond ses œufs sous l’écorce des arbres et se nourrit de leur sève. Les femelles adultes utilisent un ovipositeur pour injecter dans le bois dur, leurs œufs accompagnés d’un champignon qui pré-digère le bois pour les larves. La larve de trémex, perce les tiges de l’arbre, ce qui affaiblit l’hôte. En grand nombre, c’est un ravageur forestier. Classifié par le grand savant naturaliste suédois Carl von Linné, en 1763.