
Ce portrait a dû m’être inspiré par un acteur américain, dans un film peu mémorable et que j’ai depuis oublié. Il est temps de se préparer au prochain périple en vélo.

Ce portrait a dû m’être inspiré par un acteur américain, dans un film peu mémorable et que j’ai depuis oublié. Il est temps de se préparer au prochain périple en vélo.

Un dessin de paresseux, mais le tracé à la plume était très agréable.

Ce portrait en forme de « patate douce » est venu tout seul. Peut-être parce que, en ce moment, il y en a souvent sur les marchés et qu’on les apprécie, surtout celles en provenance d’Égypte. Un voyage gustatif.

Exercice libre à la plume, sans « a priori » se voulant artistique.

Quelques gribouillages pour garder la main.

La couleur de l’encre a influencé la teinte du papier. Conversations à bâtons ininterrompus à bord de l’avion. Les lecteurs éclectiques et futés vont peut-être trouver de quel « best-seller » américain, d’il y a plusieurs décennies et ayant évidemment fait l’objet d’une (même deux) adaptation(s) au cinéma, est extraite la page que le dessinateur a osé découper ? Pour vous rassurer, disons que ce n’est pas un chef-d’œuvre de la littérature et qu’il y a même eu une version raccourcie dans la collection des livres condensés du « Reader’s Digest.

Décollage imminent. Cet avion n’est pas très moderne, il y a encore beaucoup de cadrans, boutons et lumières dans le poste de pilotage qui ressemble à un sapin de Noël. Aujourd’hui il n’y a plus que des écrans et on ne sait pas toujours s’il y a un pilote dans l’avion.

On ne sait pas comment l’inspiration vient, mais cela fonctionne dans deux sens. L’idée appelle souvent l’image, mais parfois c’est l’image qui appelle l’histoire. L’important c’est de se lancer sans appréhension et avec une économie de moyens pour aller à l’essentiel. La paresse aide à trouver des solutions.

New-York, tôt le matin dans un modeste appartement de Greenwich Village. Un monde où une femme avec un lourd passé va rencontrer un homme sans avenir. Une histoire à arracher des larmes à des rombières scotchées devant leur téléviseur après une partie acharnée de scrabble. On parle d’une autre époque, celle « que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître ».

Le passager paraissait inquiet, soit il avait la phobie de l’avion, soit il avait quelque chose à se reprocher. Son étrange comportement n’avait pas manqué d’attirer l’attention d’un agent de sécurité.