
« Il faisait si froid quand ils sortirent pour la première fois de la fusée dans la nuit, qu’il se mit à ramasser le bois sec martien et à construire un petit feu. (…) À la lueur des flammes montant dans l’air ténu de cette mer desséchée de Mars, il regarda par-dessus son épaule et vit la fusée qui les avait tous amenés, (…) à travers un néant noir et silencieux rempli d’étoiles pour atterrir sur un monde irréel et mort. »
Ray Bradbury