Au bord de l’hippodrome

Tous les turfistes ne sont pas des vieillards cacochymes et alcooliques. Il y a aussi de belles pouliches qui ne parient pas sur les chevaux, mais viennent ferrer les gogos. Mieux vaut les éviter car, à tous les coups, on est perdant et ça coûte beaucoup plus cher que perdre aux courses.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *