On croyait visiter un musée d’art contemporain, où s’exposait un célèbre artiste allemand, adulé par la critique. Que nenni, on s’est retrouvé dans le vaste hall d’un quasi salon du bricolage, à contempler de monstrueuses figures en bois hâtivement dégrossies à la tronçonneuse (électrique bien-sûr pour sauver la planète) et d’immenses panneaux de papiers peints (sûrement du papier de récupération pour aussi sauver la planète) grossièrement encollés sur des support mal équarris. En sortant, complètement sonnés, nous nous sommes précipités dans un bistrot boire un coup de gros rouge, pour sauver la viticulture française.