Il était arrivé en milieu d’après-midi par le bateau, ce qui n’est ni surprenant ni original pour aller dans une île. Cela aurait pu être par avion ou à la nage, mais par avion c’est trop près et à la nage trop loin. Une fois débarqué, il avait dû continuer à pied le long des plages en direction de son lieu d’hébergement. Dans le ciel des nuages de crème chantilly caressaient lentement le tapis herbeux recouvrant le haut des falaises.