
Titre d’un western parodique et satirique qui n’a aucun rapport avec l’image, la photographie d’une élégante prise à la sauvette dans une rue de Tokyo. Même si les japonais sont objectivement plus « blancs » que la majorité des européens.
Titre d’un western parodique et satirique qui n’a aucun rapport avec l’image, la photographie d’une élégante prise à la sauvette dans une rue de Tokyo. Même si les japonais sont objectivement plus « blancs » que la majorité des européens.
Ce reflet d’un petit canal vénitien est un prétexte au recyclage d’anciens dessins, en attendant une hypothétique reprise des activités du crayon rêveur. On peut se consoler en se disant que même les plus grands dessinateurs ont connu leur passage à vide, plus ou moins long pour certains, comme par exemple Hergé ou Franquin, les grands maîtres de la BD franco-belge.
Autoportrait de l’artiste à la tronçonneuse. Vu sa tête, on ne sera donc pas surpris par ce qui va suivre. Il ne fait pas dans la rondeur.
On croyait visiter un musée d’art contemporain, où s’exposait un célèbre artiste allemand, adulé par la critique. Que nenni, on s’est retrouvé dans le vaste hall d’un quasi salon du bricolage, à contempler de monstrueuses figures en bois hâtivement dégrossies à la tronçonneuse (électrique bien-sûr pour sauver la planète) et d’immenses panneaux de papiers peints (sûrement du papier de récupération pour aussi sauver la planète) grossièrement encollés sur des support mal équarris. En sortant, complètement sonnés, nous nous sommes précipités dans un bistrot boire un coup de gros rouge, pour sauver la viticulture française.
On voit des gens vraiment bizarres dans les grands musées de Paris. Celui-là ne devait sûrement parler la belle langue de Molière. Peut-être qu’il ne savait même pas parler. Ce qui ne serait pas étonnant, car aujourd’hui, au nom du bien vivre ensemble, et surtout de l’attrait mercantile du tourisme, on voudrait nous ferait accepter n’importe quoi.
En fin d’après-midi, il était arrivé devant la grande maison. Mais les ombres qui rampaient sur la façade avaient quelque chose d’étrange si ce n’est d’inquiétant.
Il y a longtemps mais je ne l’ai pas oubliée, grâce à la machine à arrêter le temps qu’est la photographie.
La maison est calme avant l’arrivée des invités pour l’anniversaire-surprise qui aura lieu en fin d’après-midi. Les récipiendaires ne sont pas informés et leurs épouses les ont éloignés en les envoyant faire des courses, compliquées et qui leur prendront beaucoup de temps.
Le soleil cogne déjà, mais heureusement les fêtards de la veille, abrutis par leurs libations nocturnes, sont encore calfeutrés chez eux.
Réveil à l’aube. La rue est calme.