Depuis la mort de son créateur en 1987, le plus célèbre héros de la BD franco-belge n’en finit pas de subir les avatars d’aventures aussi insipides qu’obsolètes, péniblement éructées par des scénaristes sans aucun talent qui recyclent sempiternellement les mêmes histoires, « ad nauseam ». C’est nul mais ça rapporte.