Le ciel nous tombe sur la tête, car en ce moment ça dégouline et ça va continuer à dégouliner. Mais on préférerait voir sous les averses de sveltes odalisques plutôt que d’informes sacs à patates peu porteurs de rêves.
Le ciel nous tombe sur la tête, car en ce moment ça dégouline et ça va continuer à dégouliner. Mais on préférerait voir sous les averses de sveltes odalisques plutôt que d’informes sacs à patates peu porteurs de rêves.