J’ai eu ma période chasseur d’image. Après m’être offert d’occasion un équipement adéquat fabriqué en Allemagne de l’Est. C’était lourd, encombrant, peu fiable et la qualité optique laissait à désirer. Quel que soit le temps, on avait l’impression que les photos avaient été prises dans le brouillard. Mais les voisins étaient impressionnés, quand ils me voyaient partir « en chasse », dont je revenais presque invariablement bredouille. En fait c’est le matériel qui me fascinait, plus que les photos.