Belle de jour et nuit

Dans les rues tranquilles de Tokyo. Là-bas, ils ne connaissent pas « l’ensauvagement » de la société. Quelquefois je pense à retourner vivre pendant quelques temps à Cipango, pour, comme l’a écrit José-Maria de Hérédia, aller conquérir le fabuleux métal.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *