Si l’été est on ne peut plus agréable à Vermilion Sands, malheur à celui qui s’y est trop attardé. Il risque d’être victime du « mal de plage » et comme d’autres poètes et artistes improductifs, se retrouver en fin de journée, sur la plage de sable noir du Lagon Ouest – dont la mer s’est retirée depuis des milliers d’années – errant au milieu des épaves de voitures abandonnées à écouter le murmure du vent qui chante dans les carcasses rouillées.