On n’a pas fini de disserter sur les conséquences de l’épidémie de Covid-19. Un récent article paru dans la respectable revue américaine « Nature » (prononcer neïtchioure cela fait tout de suite plus instruit) indique que, d’après des chercheurs de l’université de Madison dans l’état du Wisconsin, les femmes auraient plus de séquelles que les hommes. Leurs capacités de verbiage seraient réduites (ce qui est plutôt un bien), leur libido serait fortement atténuée (ce qui est nettement moins bien), leur instinct de procréation au-dessous du seuil critique (ce qui n’est pas bien du tout, mesdames pensez à maréchal nous voilà et à nos retraites), je vous en passe et des meilleures. Même leurs compétences culinaires seraient affectées, alors là, rien ne va plus ! Heureusement que des chercheurs américains viennent nous informer de ce que nous savions déjà.