Dans son excellent roman de SF, « Les ailes de la nuit », paru en France en 1975, l’écrivain américain Robert Silverberg ( né en 1935) décrit avec talent une Terre d’un futur post-apocalyptique dont les survivants d’un conflit nucléaire et/ou climatologique (aujourd’hui ça nous dit quelque chose), forment une étrange humanité ayant subi de multiples mutations et certains ont la capacité de voler après le coucher du soleil. Malgré un contexte catastrophique, ce n’est pas un roman pessimiste et la fin heureuse est porteuse d’espoir. Comme beaucoup de lecteurs adolescents, j’ai été amoureux de la jeune volante Avluela.