Joli mot inventé par Colette pour désigner une jeune femme sensuelle, avec des rondeurs, telle que Fragonard les a peintes dans ses tableaux libertins et ses scènes galantes.
« Qu’elles étaient pulpeuses et lascives, nos fragonardes d’une nuit, d’un été ou d’une année ! (…) Un dernier coup d’œil, avant de tirer la porte, sur les draps chiffonnés à la Fragonard… »
Bernard Pivot