Éloge de la paresse

Ce n’est pas elle qui se la coule douce, au contraire, c’est le « dessinateur » qui, avec un bout de papier coloré et des ciseaux, arrive en quelques minutes à un résultat graphiquement bien plus évocateur que s’il avait laborieusement passé plusieurs heures sur un dessin réaliste. Donc vive la paresse !

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